mardi 3 août 2010

Jeudi 1 juillet : J-2




Lever vers 8h après une courte nuit, mais je ne sens pas la fatigue. L'énergie motrice de l’arrivée du mariage m’anesthésie de toute fatigue. Chouette ! Big Guy en presque mari parfait se lève pour m'aider à charger la voiture avant de se recoucher...

Ma super maman a été faire quelques courses à Leclerc (dont une partie de bio). Elle me rejoint à Satoriz. On continue les courses pour le brunch du lendemain, qui sera très majoritairement bio. Par exemple les cornichons n’étaient pas bio car je suis compliquée en cornichons et je ne voulais pas en tester des nouveaux pour le jour J !

Je terminerai par Picard (légumes bio… mais pas tous les fruits !) alors que ma maman profitera de son voyage pour aller chercher la sono avec Big Guy pour aller à la Vie Claire.
Ca paraît compliqué, mais à partir des menus, j’avais déterminé les quantités par plat*, puis au total et j’avais trié par magasin. Donc ça a été hyper rapide. On a fait plusieurs magasins bio* pour profiter des meilleurs prix… toujours dans un souci d’économie financière !
Arrivée chez mes grands-parents, ma cousine m’informe que ma recette de rochers coco que je ne rate jamais ne fonctionne pas. Impossible. Après une recherche de causes de « pourquoi les rochers se décomposent », j’ai trouvé : quand on met 10 g au lieu de 100 g de farine dans une recette… ça marche moins bien. Les fournées suivantes (1,5 kg de noix de coco y sont passées) étaient parfaites***. On en rigolera le reste du WE.


Puis, je fais essayer les fameuses sandales à ma cousine… qui ne les ferment pas… Echec… provisoire. Car super maman profitera de l’A/R pour les déposer chez super cordonnier qui changera l’élastique, et hop, nouvelles sandales en 43-44**** !



Après un repas équilibré (crudités et quenelles), on attaque la cuisine.
Là je me rends compte de mon nouvel handicap. Si je pétris la pâte… mes ongles vont morfler… Quand je vous disais que c’était un nouveau monde pour moi !
On s’organise : je m’occupe de mettre les ingrédients dans le mixeur, ma cousine étale la pâte, je gère la cuisson de la garniture (épinards…)


Pendant ce temps, Super***** Grand-Mère, incapable de se reposer, enlevait patiemment les étiquettes de presqu’une centaine de bouteilles de Volvic. Un peu intriguée par les idées étranges de sa petite-fille, elle a quand même mis tout son cœur à la tâche ! Merci !


En milieu d’aprem, Big Guy arrive avec la sono et une partie de l’appart de Super Cousine (celle du faire-part et de tout le reste, qui nous a gentiment prêté énormément de choses de son appart pour la déco).

On se prend un moment tous les deux… pour aller acheter l’alcool pour la nuit, ainsi que quelques bricoles en stand-by (jus de fruits, éthylotests…). Je n’aime pas faire les magasins mais j’apprécie ce moment avec mon futur mari. C’est bête mais on a passé un bon moment, on a pu discuter dans la voiture...

Au retour, on constate que tout le monde s’active : cuisine, jardin, terrasse… Une des cousines de ma maman est même venue spécialement après son boulot pour nous aider ! Je la convaincs de rester manger avec nous, alors qu’elle voulait repartir, juste après avoir aidé à la cuisine ! Ci-dessous ma déco provisoire pour la cuisine : liste d'ingrédients, quantités et recettes, ils étaient parés en mon absence ! (Oui ma grand-mère a halluciné...)

Après un repas tranquille en famille, on repart sur les préparatifs : avec ma cousine et Big Guy, on découpe et colle les papiers pour les contenants des bulles personnalisés.


Puis je pars une heure environ dans le village où on va se marier pour voir, grâce au PC portable et au wifi, si le copain qui devait arriver le soir même d’Angleterre avait changé ses plans. J’en profite pour vous faire un coucou et des mercis blogesques.

A mon retour, on s’attaque à la liste de tout ce qu’il nous reste à faire. Mia « dans toute sa splendeur » (j’adore ce genre de choses) prend les choses en main : hop, une utilité pour les anciennes cartes de vœux de 2008 de mon boulot récupérer alors qu’elles étaient destinées à la benne : une carte pour chaque personne à qui on décide de façon subjective et réfléchie de déléguer quelque chose, soit pour le lendemain, soit pour le jour J. Une heure et quelques plus tard, tout est réparti.


Il est presque 2h du matin, il n'est plus l'heure de répéter notre danse, il est l’heure de regagner notre lit… la journée du lendemain s’annonce longue !

* Excel mon amour…
** Attention aux kilomètres dans ces cas-là ! Dans notre cas c’était toujours « sur la route ».
*** Je vous ai dit, cette recette ne rate jamais !
**** Pointure adaptée à sa taille… Quand je vous dis qu’avec mon mètre 78 je suis petite !
***** Oui, tout le monde a été super alors je le clame haut et fort !

Crédit photo : www.fotosearch.fr et Mia

2 commentaires:

  1. Waou, je suis épatée ! J'avais aussi préparé des tableaux, mais je n'avais pas trop réparti le travail, ça c'est fait un peu à l'inspiration ... Et je n'ai pas pu, comme vous, m'absenter un peu, car je ne savais pas quoi déléguer à qui. Ton diplôme de GMQ est amplement mérité ! :)

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  2. On l'a fait de façon subjective et réfléchie :
    - balayer devant l'église... euh... allez, mes cousins, pas question que ça soit des filles ;-)
    - faire bouger les invités : allez, tel cousin, animateur dans l'âme qui a la voix qui porte et qui sera là le lendemain pour qu'on lui explique de vive voix car c'était un rôle important
    ...

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